L’Aqueduc Festival se déroulait les 6 et 7 juin 2025 à Chanopost (69). Ce festival a le respect de l’environnement au cœur de ses priorités et souhaitait instaurer des mesures concrètes pour réduire son impact écologique. En ce sens, Pikip Solar Speakers été sollicité pour équiper la scène destinée à animer les inter-plateaux.

Il s’agissait d’apporter :
→ L’énergie nécessaire pour l’éclairage et la backline
→ Le système de sonorisation de la scène
→ La production d’énergie photovoltaïque

Et ce, sur une journée d'installation et de balances, le 5 juin, puis les 6 et 7 juin de 17h00 à 23h00. La production d’énergie solaire permet de recharger les équipements PikiP afin de couvrir les deux jours.

Matériel utilisé

Pour les besoins du festival, nous avons mis en place un kit comprenant :

→ 7 enceintes de sonorisation (2x subwoofers – VTL118 ; 2x constant curvature – VCH30 ; 3x full range – VCX12)
→ 3 modules d'énergie (2x stations énergies – SE6000, avec puissance disponible : 6000W – 9000 Wc et capacité batterie : 4800 Wh ; 1x amplificateur autonome – AEA, avec puissance disponible : 1200W – 2400 Wc et capacité batterie : 3500 Wh)
→ 2 plateformes solaires (1x FLYPV avec production d’énergie photovoltaïque : 1700 Wc)

Résumé des données collectées

→ Énergie consommée : 20,49 kWh
→ Énergie produite : 12,78 kWh
→ Pic de consommation : 3380 W
→ Pic de production : 1045 W

Employer les 3 génératrices d’énergie solaire PikiP a permis de réduire de 10x l’impact carbone de la scène inter-plateaux, par rapport aux groupes électrogènes thermiques.

L’empreinte carbone de la scène inter-plateaux équipée par PikiP a été d’environ 4 kg CO2e. Si nous avions dû utiliser des groupes électrogènes, l’impact carbone aurait été d’environ 40 kg CO2e.

Proches de l'autonomie, prêts pour 2026

La consommation totale d’énergie du festival s’est élevée à 20,5 kWh, dont 12,8 kWh ont été couverts par un seul FLYPV, malgré des conditions météorologiques défavorables.

La production solaire a été limitée en raison de la pluie, mais ce bilan démontre déjà le potentiel réel du système : avec une météo plus clémente ou l’ajout d’un deuxième FLYPV, nous aurions pu couvrir l’intégralité des besoins énergétiques de la scène inter-plateaux.

Pour l’édition prochaine, nous pourrions envisager un dispositif renforcé, plus résilient aux aléas climatiques, permettant d’atteindre voire dépasser l’autonomie énergétique, tout en maintenant une scénographie légère, esthétique et durable.